Le patrouilleur allemand Walter Darre a été coulé le 4 juillet 1944 par des vedettes canadiennes lance-torpilles en même temps qu’un autre patrouilleur de même catégorie : le Hinrich-Hey. Il a été touché par une torpille au niveau de la machinerie ce qui explique que l’épave se trouve coupée en deux parties principales. Malgré cela, la chaudière et la machine à vapeur (double expansion) sont parfaitement visibles et en place.
Les deux parties avant et arrière reposent sur leur flanc tribord. Elles sont reliées par l’ensemble chaudière/machine à vapeur ainsi qu’un amas de tôles et tuyauteries, résultat de l’explosion.
Sur la partie avant le canon repose sur le fond de sable. On remarque près de là, l’énorme tube constituant le support du canon. La balade dans les cales est parfaitement possible et sans difficulté.
On trouvera sur la partie arrière l’hélice partiellement ensablée. A la proue, on devine encore parfaitement la rampe de chargement qui indique qu’on a bien affaire à un ancien chalutier reconverti à un usage militaire. Le secteur de barre est lui aussi parfaitement reconnaissable.
La plongée se déroule entre 28 et 34m lors des petits coefficients.
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Amas de tuyaux et toles
| Lieu à l’arrière
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L’Hélice ensablée
| La Poupe et la rampe
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La Poupe (suite)
| La Poupe (suite)
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Le Secteur de barre
| La Machine à vapeur
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La Chaudière
| La Chaudière (suite)
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La Chaudière, congres, lieus et tacauds
| Le Canon sur le sable
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La Proue
| Le support du Canon
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La Proue (suite)
| La Proue et les ancres en place
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La Chaudière (suite)
| La Chaudière et ses congres
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La Poupe (suite)
| Congre et tacauds
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