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La sortie Dinard du 20 au 23 juillet par Catherine
mercredi 26 juillet 2006, par Catherine

Participants :

-  Jean-Luc E3
-  Christian E3
-  Massimo N4
-  Danielle N3
-  Catherine N3
-  Isabelle N3
-  François N2
-  Nemo Futur Plongeur
-  Yves N2
-  Emeric N2
-  Frédéric N1
-  Hervé N1
-  Marc N1
-  Morgan N1

Statistiques des Plongées :
-  Saclay : 15 plongées
-  B3 : 57 plongées

La sortie a débuté une journée plus tôt que prévu, car des irréductibles ont voulu faire de la recherche de sites (Jean-Luc, Catherine, Christian, Yves et Danielle)


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Le jeudi 20 juillet, Le matin, deux sites ont été explorés :
-  La basse printemps : le fameux endroit où Christian et Yves jurent avoir vu un é-nor-me homard de plus de 50 ans, près d’une ancre. Nous avons trouvé l’ancre, mais pas le homard. Est-ce que les bretons sont comme les marseillais, à part qu’ils préfèrent les crustacés aux sardines ?
-  La pierre aux tisons : sur le CD-ROM d’OCEANS sur les plus beaux sites et les plus belles épaves, la pierre aux tisons, proche de la Grande Huppée, est indiquée comme un beau tombant. Effectivement, la profondeur à marée basse est de l’ordre de 15 m, avec une faune très variée et nombreuse. Surtout Yves y a équipé son bateau en trouvant un grappin avec un peu de chaine. Pendant la surveillance « surface », Jean-Luc s’est aperçu que le bouchon de la coque de la Roussette n’avait pas été remis en place. Le soir, l’opération de vidage a montré que plusieurs dizaines de litres avaient été se loger dans ce bel espace vide... la vidange a duré plus de 10 minutes.

L’après-midi, les courageux chercheurs de site se sont fait plaisir...une plongée sur le Hinrich Hey. Le plaisir n’est pas gratuit. Une telle plongée à marée haute (34 m) se paie au moment des paliers.

Le vendredi 21 juillet, Ce fut la matinée des premières :
-  Premières plongées pour Morgan et Marc,
-  Premiers encadrements pour Massimo,
-  Plus jeune plongeur de B3 : 12 ans et demi.

Direction la pierre aux tisons. Tout s’est bien passé. Morgan a eu la totale : raie, homard, congre, seiches, tourteaux, araignées. Il va croire que la plongée est toujours ainsi. Yves a, encore fait, son marché en remontant un autre grappin (plus gros que le précédent).

L’après-midi, plongée à la Saint Servantine. Un miracle s’est produit ... nous sommes arrivés en avance sur le site. L’avance était telle que les premiers à l’eau, Yves et Danielle, sont remontés à bord, car le courant était trop fort. Pourtant, Jean-Luc avait fait le test de la Loutre. La réponse, teintée d’une certaine culture cinématographique, était pourtant claire : « y’en a ! ».

Emeric avait réussi à passer son niveau 2 en évitant le test du parachute (si ! si ! ). Il a dû s’exercer au grand amusement de son acolyte (surtout pour le premier lâcher, au sens propre du terme, car il avait oublié de tenir le parachute !). Il s’est vengé lâchement en voulant plonger aux tables.

La plongée de l’après-midi a été aussi un lieu de chasse aux trésors d’un type particulier : les casiers abandonnés pour la décoration de Jean-Claude, le cuisinier du manoir.

Le soir, Frédéric était content : Morgan est fatigué (mission accomplie !).


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Le samedi 22 juillet. 7h00 : le réveil sonne ! 7h01 : la pluie commence ! Malgré ce signe peu encourageant, tout le monde s’est levé. Après un bon petit déjeuner (avec les croissants) en route pour le Laplace, par une mer calme à belle, un vrai régal ! seul manquait le soleil. Le choix du Laplace, guidé par son « étal particulier » deux heures avant la marée de Saint Malo, permettait de respecter les horaires du manoir et aussi de satisfaire certains qui souhaitaient y plonger. Cette épave de frégate météorologique, coulée en 1950 après avoir heurté une mine magnétique, est un véritable HLM à homards et à tacauds. Les seiches et les vieilles y abondent également. Plusieurs ont même vu un Saint-Pierre. François s’est contenté de la compagnie insistante d’une vieille peu farouche. Il est vrai que son acolyte de palanquée se concentrait sur les réglages de son appareil photo.


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L’après-midi, le DP et son acolyte (Christian et Jean-Luc) ont choisi le fort de la grande Conchée. Le « renard » - réplique du bateau de Surcouf- est venu saluer les plongeurs. Certains ont été pistonné : torpille, Saint-Pierre, targeurs, bars, mulets, ... Au retour, arrêt « bio » sur un paquet de bouts et de filasses flottant rempli d’alevins, de crustacés modèle réduit et de syngnathe.

François, très exigeant, pensait que pour clore cette journée très riche, il manquait un retour au port avec des dauphins sautant devant l’étrave du zodiac. Point trop n’en faut. M’enfin !


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Le dimanche 23 juillet Plongée au Bizeux. Fréd et Emeric découvrent, qu’en dehors des exercices, ce site présente plein d’intérêt. Morgan a encore piraté tous les « Bounty ».

Les bateaux ont fait des caprices pendant la sortie, sauf Ptérois (un bateau de pompiers, c’est rustique et fiable.) Ti jaune se remplit doucement, mais sûrement d’eau. Les vide-vite, un peu mous, seraient-ils parfaitement étanches ? La pitouille a déclarée forfait. A priori, un problème de refoulement d’huille dans le moteur à l’arrêt. Voici du bricolage pour la sortie de début août. La Roussette a des problèmes électriques : pas de sondeur, ni de compte-tours, ni de position du moteur.

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